Si le droit n’existait pas, les plus faibles n’auraient jamais leur place dans la société. L’État de nature dicterait ses lois nous vivrions comme dans une jungle. Le droit apparaît alors tel un sauveur, garant de quiétude. Découvrez donc dans cet article à quoi sert réellement le droit dans une société.
Garantir la paix et la sécurité
Le droit se définit comme étant l’ensemble des règles qui régissent la vie en société. Découvrez plus d’informations en cliquant ici https://www.udcgt49.fr/ du point de vue objectif, le droit est cet ensemble de normes purement juridiques ayant force obligatoires dans un pays. Au sens subjectif, c’est l’ensemble des prérogatives conférées à chaque individu, comme la liberté d’expression par exemple, le droit à la vie et bien d’autres. X. Malcolm disait que les droits humains sont une chose avec laquelle nous naissons tous. Autrement, tout humain naît avec des droits. C’est à juste titre qu’un bébé naît avec la liberté d’expression : le premier cri. À aucun moment, l’on ne saurait vivre dans un État ou le droit est absent. Son rôle dans une société est énorme. Si indispensable. Une cité dépourvue de droit ne serait qu’Etat de nature. Chacun y agirait comme bon lui semblera. Le plus faible n’aurait pas sa place parce que sous le joug du plus fort. Grâce au droit, tous les êtres humains sont libres et égaux, quelque soit le sexe, l’ethnie, la religion, la nationalité. De même, chaque État assure la paix et la sécurité de son peuple à travers l’accomplissement des droits et devoirs de ceux-ci. Le droit garantit la paix et la sécurité à la veuve et à l’orphelin.
Rendre une justice équitable
Autrefois, dans l’État de nature, seuls les forts dictaient leurs lois. Le faible n’avait aucunement le droit de se plaindre. C’était une vie telle dans la mer où les plus gros poissons avalaient les moins gros. Un pauvre pouvait se voir arracher tout son patrimoine par une personne appartenant à la lignée royale ou empirique. Il pouvait se voir arracher sa femme, se faire fouetter sans qu’il y ait lieu de se plaindre. Le faible n’avait qu’un seul droit : subir. Mais le droit, comme pour siffler la fin de la récréation, vient tout mettre en ordre. Désormais, quel que soit le différend opposant un faible à un fort, la justice est rendue de façon équitable, privilégiant qui de droit, sans distinction de statut social.